Ce début de collection a démarré avec une performance/photographie de Anne Teresa de Keersmaeker où se projettent plusieurs silhouettes par jeu d’ombres pour obtenir l’idée du multicouche de transparences. 

Le concept est de faire une radiographie, un scan de des pièces iconiques, stéréotypées masculines. Épurer la pièce à son strict minimum en ne laissant ressortir que son squelette et ses codes essentiels. 

L’idée d’un uniforme (son uniforme) qui laisse apparaître la personnalité à travers. 

(Ironie de la définition même de l’uniforme). 

Les coupes jouent sur les stéréotypes qui influencent Florent Seligmann comme le marin, le motard, le cowboy, l’homme classique, la femme dans son boudoir, etc.