Le souffle de départ de mes pièces part de mes expériences corporelles, de ma relation à mon corps, de mes préoccupations face à sa potentielle transformation et de ma volonté d’entretenir un rapport plus décomplexé et moins aliénant avec mon corps, face à certaines injonctions. Pour cela, je puise dans l’esthétique des fluides et du flux interne. Jouant entre préciosité et répulsion, je m’inspire des imageries médicales, issues d’un imaginaire médical universaliste, pour les amener à un univers intime et personnel.